Le mois dernier, le Gouvernement Congolais a publié les récents chiffres de sa croissance annuelle. Celle-ci fait état d’une progression de l’ordre de 9,5%. La part des financements locaux comme catalyseur de cette croissance fait encore débat. L’on peut analyser la question en se basant sur deux secteurs majeurs qui, d’après la banque centrale du Congo, sont les fers de lance de cette croissance : l’industrie minière et celle des services avec, notamment, le secteur des télécommunications. Au delà du fait que le lien de cause à effet entre secteur primaire et croissance économique reste discutable , les banques Congolaises n’interviennent que très peu dans le financement d’expansions d’opérations minières productrices de richesses car bien trop limitées par leurs tailles de bilan. Les fonds nécessaires à ces types d’investissements sont presque toujours levés à l’étranger. De plus, il se pose bien souvent le problème de l’expertise nécessaire permettant de mitiger l...
Le capital est Humain, Intellectuel, Social, Physique, Naturel, Financier, Economique, Culturel et j'en passe... ce sont là les données d'une même equation.